Nouvelle et troisième sortie de notre association sur le secteur des Dourbes, dans le but de découvrir la Pierre Saint Martin. Après une reconnaissance préalable de quatre de nos «spécialistes de l’invisible » accompagnés d’une personne qui connaissait bien les lieux, le programme de cette sortie a été déterminé.
A la suite de quelques jours d’intempéries, nous avons eu la chance de connaître en cette journée, le retour d’un beau temps chaud et ensoleillé. Notre petit groupe s’est donc retrouvé de bon matin sur le parking d’Intermarché à Digne, d’où nous avons covoituré pour nous rendre jusqu’à la maison forestière des Dourbes.
Après que les15 participants aient procédé aux incontournables et indispensables ancrages et centrages, l’autorisation d’entrer sur le domaine a été sollicitée auprès du Gardien du lieu, lequel, au regard de la bienveillance de nos intentions nous l’a accordée.
De prime abord, trois groupes de quatre personnes ont été formés, chacun d’entre eux chapeauté par un « coach averti » afin de partir à la découverte du début du sentier qui s’est avéré être étroit, sombre et boisé. Tout en cheminant, nous avons pu, à l’aide de nos baguettes, repérer les portes (dans le subtil), attendre leur ouverture pour les franchir et partir à la découverte de rares perturbations telluriques et d’êtres de la nature, dont l’un d’eux semblait nous attendre sur une pierre en forme de cœur !
Après que chaque groupe ait échangé à propos de ses découvertes, nous avons continué tous ensemble notre ascension jusqu’à atteindre un plateau dégagé aux abords duquel nous nous sommes arrêtés. Là, chacun armé de ses baguettes, s’est avancé dans ce champ en « demandant » à être guidé sur le chemin menant à une nouvelle découverte. Celle-ci s’est avéré être une pierre, peu haute, un peu ronde, faisant face, à quelques mètres de là à une autre pierre beaucoup plus volumineuse dont le profit peut faire penser à un requin.
Entre ces deux roches, nous avons étudié le terrain, jusqu’à trouver un réseau Hartmann de niveau 4, un réseau Peyré et un réseau Curry.
Il nous a été expliqué que la première des pierres était une pierre d’activation en lien avec la seconde (en forme de requin). Nous avons procédé à la mesure du taux vibratoire de la grande roche, avant et après que l’un d’entre nous soit monté sur la première pour « activer la clé ». Nous avons ensuite pu, à tour de rôle, nous adosser « au requin » afin de nous recharger en énergie.
Ceci fait, nous avons, par l’intention, « désactivé » la petite pierre, non sans avoir remercié pour cette belle expérience.
L’heure du déjeuner arrivant, nous nous sommes alors avancés jusqu’à l’ombre d’un bel arbre (un sorbier) pour nous sustenter d’un repas tiré du sac.
Ceci fait, nous avons continué notre progression sous un soleil ardent, sur un sentier pentu et un peu accidenté, pour atteindre, à 1 160 mètres d’altitude, la fameuse Pierre Saint Martin. Là, également, nous avons trouvé, devant celle-ci une pierre d’activation et nous avons recherché, à nouveau, le taux vibratoire de la Pierre Saint Martin, avant et après que l’un d’entre nous ne monte sur cette « clé d’activation ». Nous nous sommes ensuite fait un plaisir de profiter des bienfaits de cette volumineuse roche, en y montant dessus, nous y asseyant ou nous y allongeant.
De cet endroit, il nous a été donné de pouvoir observer, sur les hauteurs de la barre des Dourbes, la célèbre ouverture dans le rocher, dite « le trou Saint Martin » au travers duquel passent les rayons du soleil deux jours dans l’année, le 11 novembre et le 30 janvier.
Après avoir désactivé la « clé d’activation » et remercié le site de son accueil, nous avons pris le chemin de la descente jusqu’à arriver à un grand arbre. A l’aide de nos baguettes, nous nous mis en quête de ses « harmoniques » qui sont au nombre de trois, c’est-à-dire trois cercles concentriques qui l’entourent. Ceci fait, nous avons pu nous adosser à ce feuillu pour ressentir son énergie et lui communiquer des images de nos vies car, si les arbres sont bien connectés au ciel et à la terre, la seule chose qu’ils ne puissent faire, c’est se déplacer. Aussi, il nous a semblé que lui transmettre des images mentales était susceptible de lui plaire.
Ensuite, au terme de notre descente, nous avons remercié ce lieu et l’avons, par l’intention, refermé derrière nous. Après quoi, notre collègue le plus « connecté » a pu recevoir le message du Gardien des lieux qui nous a lui-même remercié de notre visite respectueuse et nous a assuré que nous pourrions y revenir à loisir.
Ainsi se termina cette belle randonnée, et après retour sur notre lieu de rendez-vous matinal, chacun s’est dit content de sa journée.
Un grand merci à nos « enseignants » pour le partage de leurs connaissances et à Muriel pour son compte-rendu.