Sortie du 31 août 2025 à la pierre Saint Martin

Nouvelle et troisième sortie de notre association sur le secteur des Dourbes, dans le but de découvrir la Pierre Saint Martin. Après une reconnaissance préalable de quatre de nos «spécialistes de l’invisible » accompagnés d’une personne qui connaissait bien les lieux, le programme de cette sortie a été déterminé.

A la suite de quelques jours d’intempéries, nous avons eu la chance de connaître en cette journée, le retour d’un beau temps chaud et ensoleillé. Notre petit groupe s’est donc retrouvé de bon matin sur le parking d’Intermarché à Digne, d’où nous avons covoituré pour nous rendre jusqu’à la maison forestière des Dourbes.

Après que les15 participants aient procédé aux incontournables et indispensables ancrages et centrages, l’autorisation d’entrer sur le domaine a été sollicitée auprès du Gardien du lieu, lequel, au regard de la bienveillance de nos intentions nous l’a accordée.

De prime abord, trois groupes de quatre personnes ont été formés, chacun d’entre eux chapeauté par un « coach averti » afin de partir à la découverte du début du sentier qui s’est avéré être étroit, sombre et boisé. Tout en cheminant, nous avons pu, à l’aide de nos baguettes, repérer les portes (dans le subtil), attendre leur ouverture pour les franchir et partir à la découverte de rares perturbations telluriques et d’êtres de la nature, dont l’un d’eux semblait nous attendre sur une pierre en forme de cœur !

Après que chaque groupe ait échangé à propos de ses découvertes, nous avons continué tous ensemble notre ascension jusqu’à atteindre un plateau dégagé aux abords duquel nous nous sommes arrêtés. Là, chacun armé de ses baguettes, s’est avancé dans ce champ en « demandant » à être guidé sur le chemin menant à une nouvelle découverte. Celle-ci s’est avéré être une pierre, peu haute, un peu ronde, faisant face, à quelques mètres de là à une autre pierre beaucoup plus volumineuse dont le profit peut faire penser à un requin.

Entre ces deux roches, nous avons étudié le terrain, jusqu’à trouver un réseau Hartmann de niveau 4, un réseau Peyré et un réseau Curry.
Il nous a été expliqué que la première des pierres était une pierre d’activation en lien avec la seconde (en forme de requin). Nous avons procédé à la mesure du taux vibratoire de la grande roche, avant et après que l’un d’entre nous soit monté sur la première pour « activer la clé ». Nous avons ensuite pu, à tour de rôle, nous adosser « au requin » afin de nous recharger en énergie.
Ceci fait, nous avons, par l’intention, « désactivé » la petite pierre, non sans avoir remercié pour cette belle expérience.
L’heure du déjeuner arrivant, nous nous sommes alors avancés jusqu’à l’ombre d’un bel arbre (un sorbier) pour nous sustenter d’un repas tiré du sac.

Ceci fait, nous avons continué notre progression sous un soleil ardent, sur un sentier pentu et un peu accidenté, pour atteindre, à 1 160 mètres d’altitude, la fameuse Pierre Saint Martin. Là, également, nous avons trouvé, devant celle-ci une pierre d’activation et nous avons recherché, à nouveau, le taux vibratoire de la Pierre Saint Martin, avant et après que l’un d’entre nous ne monte sur cette « clé d’activation ». Nous nous sommes ensuite fait un plaisir de profiter des bienfaits de cette volumineuse roche, en y montant dessus, nous y asseyant ou nous y allongeant.

De cet endroit, il nous a été donné de pouvoir observer, sur les hauteurs de la barre des Dourbes, la célèbre ouverture dans le rocher, dite « le trou Saint Martin » au travers duquel passent les rayons du soleil deux jours dans l’année, le 11 novembre et le 30 janvier.

Après avoir désactivé la « clé d’activation » et remercié le site de son accueil, nous avons pris le chemin de la descente jusqu’à arriver à un grand arbre. A l’aide de nos baguettes, nous nous mis en quête de ses « harmoniques » qui sont au nombre de trois, c’est-à-dire trois cercles concentriques qui l’entourent. Ceci fait, nous avons pu nous adosser à ce feuillu pour ressentir son énergie et lui communiquer des images de nos vies car, si les arbres sont bien connectés au ciel et à la terre, la seule chose qu’ils ne puissent faire, c’est se déplacer. Aussi, il nous a semblé que lui transmettre des images mentales était susceptible de lui plaire.

Ensuite, au terme de notre descente, nous avons remercié ce lieu et l’avons, par l’intention, refermé derrière nous. Après quoi, notre collègue le plus « connecté » a pu recevoir le message du Gardien des lieux qui nous a lui-même remercié de notre visite respectueuse et nous a assuré que nous pourrions y revenir à loisir.
Ainsi se termina cette belle randonnée, et après retour sur notre lieu de rendez-vous matinal, chacun s’est dit content de sa journée.
Un grand merci à nos « enseignants » pour le partage de leurs connaissances et à Muriel pour son compte-rendu.

Compte-rendu de la sortie du 18 mai 2025 à Gangobie

Nouvelle et deuxième sortie de notre association sur le plateau de Ganagobie, après une reconnaissance préalable de trois de nos « spécialistes de l’invisible » : Claude, Françoise et Jean-François qui, de par leurs observations, ont déterminé le programme de cette journée.

Après un début de mois de mai placé sous le signe des intempéries, nous avons eu la chance de bénéficier en cette journée d’un beau temps ensoleillé. Notre petit groupe s’est donc retrouvé de bon matin sur le fameux plateau de Ganagobie, lieu si riche de belles vibrations.

Après avoir procédé aux incontournables et indispensables ancrage et centrage, l’autorisation d’entrer sur le domaine a été sollicitée auprès du Gardien du lieu, lequel, au vu, peut-être, de notre enthousiasme et de notre désir d’en apprendre plus sur ce site, nous l’a accordée.

Nous nous sommes donc rendus sur une parcelle de terrain sur laquelle il s’est agit pour chacun de nous de procéder à la découverte des réseaux telluriques Hartmann (leur taille, l’endroit où ils se croisent…), à l’aide du pendule, des baguettes ou voire même du clair ressenti.  Une fois cette étude réalisée, Jean-François et Claude nous ont montré comment, à l’aide d’une pierre programmée d’une certaine façon, il était possible de dévier un tel réseau (modification bien entendu annulée dans la foulée pour respecter le site).

Nous avons ensuite cheminé sur le plateau, en s’exerçant, à l’aide des baguettes, à repérer les différentes « portes », nous arrêtant sur celles-ci et attendant leur ouverture, signe d’une autorisation de passer. Puis, nous sommes allés à la rencontre de plusieurs pierres, volumineuses, situées sous les chênes. Chacun de nous a ensuite choisi l’une des pierres pour laquelle il avait une préférence. Là, nous avons tenté de déterminer si un ou des êtres de la nature s’y trouvait. Ceci fait, les plus « sensitifs » d’entre nous nous ont fait part de leur ressenti en nommant de quelle catégorie ces élémentaux appartenaient (dragon, elfe, fée…). Ce fut fort intéressant.

Nous avons poursuivi en parcourant le plateau à la recherche d’une Ley Line (il s’agit d’un alignement en ligne droite, d’une ligne énergétique qui relie certains grands sites entre eux) qui avait été repérée par nos trois amis lors de leur sortie de reconnaissance. Malheureusement, il ne nous a pas été possible de la retrouver.

Nous nous sommes alors dirigés au niveau du flanc de l’église pour y étudier le courant d’énergie provenant d’un réseau qui, passant par une croix matérialisée un peu plus haut, plonge ensuite sous l’église, au niveau de l’autel. Nous avons pu constater que, suivant notre position par rapport à ce réseau (de dos ou de face) nous pouvions nous recharger en énergie. Quelques petites expérimentations plus loin, la chaleur commençant à se faire sentir et les estomacs se réveillant, nous sommes retournés sur le parking où nous attendait notre pique-nique bienvenu.

Un certain nombre d’entre nous s’est par la suite rendu dans l’église pour assister à des chants polyphoniques corses, italiens et occitans, interprétés par les groupes U CAMINU et BOULEGADIS.

A l’issue de ce concert et de cette belle sortie, notre petite troupe, ravie mais rêvant d’aller se rafraîchir un peu, s’est ensuite séparée, en pensant déjà à la prochaine sortie.

Compte-rendu de la sortie du 13 octobre 2024 à Ganagobie

Compte-rendu rédigé par Muriel Maquenhen que nous remercions, photos Alain et Sandra.
 
Cette sortie a été préparée en amont par Jean-François Claude et Françoise, afin de sélectionner des lieux propices à l’étude des phénomènes intéressants.
 
C’est donc par une belle journée ensoleillée que les 20 participants se sont retrouvés sur le plateau de Ganagobie.

Etant donné le caractère sacré du lieu, Jean-François a sollicité le Gardien du Lieu, en lui demandant s’il nous autorisait à pénétrer dans son domaine. Nous nous trouvions tous dans un esprit bienveillant et l’autorisation nous fut alors accordée.
 
Au milieu des chênes verts et dans les parfums de la menthe poivrée, avec l’aide de Jean-François, Claude, Alain et Sylvie, il s’est agit, en premier lieu, de rechercher des réseaux telluriques qui sont des maillages électromagnétiques présents sur toute la planète, principalement les réseaux Hartmann et Peyré. Nous avons pu les trouver à l’aide, soit d’un pendule, de baguettes et, pour certains de clair ressenti. Il nous a été possible de mesurer leur largeur et d’en connaître plus sur leur effet sur notre organisme.


 
Plus loin, nous avons été mis en présence d’une cheminée cosmo tellurique, qui représente un système d’échange d’énergie entre la Terre et le Ciel. Chaque cheminée de la sorte possède un certain nombre de bras, que nous avons tous tenté de ressentir et de comptabiliser à l’aide de nos instruments cités plus haut. Nous avons appris à nous placer à certains endroits (bénéfiques pour l’organisme) plutôt qu’à d’autres (négatifs).
 
Puis, l’heure avançant, nous nous sommes tous restaurés devant un pique-nique tiré du sac.
 
L’après-midi a été consacré à l’étude des environs de l’Abbaye. Ainsi, sur son parvis, fut découvert et étudié le courant d’eau qui la traverse, dont nous avons pu mesurer la largeur. Nous nous sommes ensuite rendus sur le flanc de l’église afin de chercher l’endroit où le courant tellurique pénètre à l’intérieur de l’édifice. Nous avons découvert comment se placer pour en ressentir les bienfaits.
 
Nous avons poursuivi notre chemin dans la forêt, à la rencontre de grands arbres dont nous avons pu observer l’orientation et la signification de celle-ci. Il nous a été possible également d’interagir avec eux.

Tout le monde a souhaité se rendre jusqu’à la majestueuse croix qui surplombe la vallée et de belles énergies nous y ont accueillis.

 
Sur le chemin du retour, ceux qui le souhaitaient ont pu se rendre à l’intérieur de l’église, qui pour visiter, qui pour se recueillir. Jean-François nous a ensuite apporté des précisions quant aux personnages figurant au fronton du bâtiment.


 
Au moment de nous séparer, nous avons tous fait le constat d’avoir passé une belle journée, riche en enseignements et de nous sentir rechargés en énergie positive.
 
La prochaine sortie semble vivement attendue

 

Belle sortie à Notre dame de Lauzière

Malgré la météo peu clémente, quatorze membres de notre association étaient présents pour cette sortie à Notre Dame de Lauzière au Brusquet.
Sous la direction des expérimentés Alain Garcin, Jean-François Sadoch, Claude Manchon et Sylvie Alfonsi, nous avons passé les portes énergétiques nous permettant d’accéder à la chapelle de N. D. de Lauzière et de faire les mesures prévues : réseau Hartmann, courants d’eau souterraine, et même cheminée cosmotellurique.
Après avoir partagé un bon pique-nique et échangé sur nos détections, nous avons pris le chemin du retour vers le Brusquet, nous promettant d’organiser rapidement une autre sortie.